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Réglementation des Accueils
Collectifs de Mineurs (ACM) 
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Quand et 
comment déclarer un ACM   
Cliquez sur l'intitulé de votre choix pour obtenir le descriptif 
Texte 
   
	
		| 
		
		1.1 
		Organisateur ce qu'il faut savoir 
		
		Quand déclarer un ACM |  
		| 
		L'autorité :  | 
		Le ministre chargé de la jeunesse élabore et veille à la 
		mise en œuvre de la réglementation applicable aux organisateurs 
		d’accueils collectifs de mineurs (ACM). il définit ce qu’est un ACM, les 
		conditions de déclaration, les obligations des organisateurs, les 
		conditions de contrôle et d’évaluation. Il promeut le développement de 
		la qualité éducative de ces accueils. 
		Sous l’autorité du préfet du département, les services 
		déconcentrés de l’État – directions départementales de la cohésion 
		sociale (DDCS)/directions départementales de la cohésion sociale et de 
		la protection des populations (DDCSPP) – sont chargés de la mise en 
		œuvre de la mission de protection des mineurs dans ces accueils et sont 
		les interlocuteurs privilégiés des organisateurs. 
		 |  
		| 
		Définition d’un accueil et des 
		conditions préalables à son organisation : | 
			
			Définition selon le code de l’action sociale et 
			des familles (CASF)    
			Les accueils avec hébergement : 
				
				
				 le séjour de vacances (précédemment 
				dénommé "centre de vacances" ou "colonie de vacances") accueille 
				au moins 7 enfants et/ou adolescents pour une durée minimale de 
				4 nuits ;
				
				 le séjour court
				accueille au moins 7 enfants et/ou adolescents pour une 
				durée comprise entre 1 et 3 nuits ;
				
				 le séjour spécifique 
				accueille au moins 7 enfants âgés d’au minimum 6 ans et/ou 
				adolescents et ne peut être organisé que par des personnes 
				morales dont l’objet est le développement d’activités 
				particulières définies réglementairement (séjours sportifs, 
				séjours linguistiques, séjours artistiques et culturels, 
				rencontres européennes de jeunes et chantiers de jeunes) ;
				
				
				 le séjour de vacances dans une 
				famille (précédemment appelé 
				"placement de vacances") accueille de 2 à 6 mineurs pour une 
				durée minimale de 4 nuits. 
			Les accueils sans hébergement : 
				
				
				 l’accueil de loisirs (précédemment 
				dénommé "centre de loisirs" ou "centre aéré") est organisé pour 
				7 à 300 mineurs et fonctionne pendant le temps extrascolaire ou 
				périscolaire au minimum 14 jours par an, pour une durée minimale 
				de deux heures par journée de fonctionnement. Il se caractérise 
				par une fréquentation régulière des mineurs inscrits auxquels il 
				offre une diversité d’activités organisées ;
				
				 l’accueil de jeunes est organisé 
				pour 7 à 40 mineurs âgés de 14 à 17 ans et fonctionne au minimum 
				14 jours par an. Il est destiné à répondre à un besoin social 
				particulier explicité dans le projet éducatif. 
			Les accueils de scoutisme 
		Comment savoir si l’accueil que je souhaite 
		organiser est un accueil collectif de mineurs ?Votre interlocuteur est la 
		
		DDCS/DDCSPP
 
			
			
			 Contactez la direction départementale de la 
			cohésion sociale (DDCS)/direction départementale de la cohésion 
			sociale et de la protection des populations (DDCSPP) du département 
			de votre résidence si vous êtes un particulier ou du département du 
			siège social si l’organisateur est une personne morale.
			
			 Vous pouvez consultez 
			l’instruction 06-192 JS du 22 novembre 2006, qui recense les 
			accueils exclus du champ d’application du CASF |  
		| 
		Conseil : | 
		Un simple appel téléphonique auprès de la DDCS/PP service 
		des ACM peut vous renseigner.  |  
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		1.2 Obligations 
		réglementaires des organisateurs 
		Quand déclarer un ACM |  
		| 
		La déclaration (accueil et local 
		d’hébergement) : | Les accueils 
		collectifs de mineurs (article L-227-1 à 4 et R227-1) doivent être 
		obligatoirement déclarés auprès de la DDCS/DDCSPP, soit du siège social 
		de votre organisme, soit de votre résidence si vous êtes un particulier. 
		Les accueils ne rentrant pas dans cette définition ne peuvent pas être 
		déclarés. De même, les 
		locaux servant à héberger les mineurs doivent être déclarés à la DDCS/DDCSPP 
		du lieu d’implantation.DDCS/DDCSPP (direction départementale de la cohésion social/ direction 
		départementale de la cohésion sociale et de la protection des 
		populations)
   La Nouvelle 
		procédure de déclaration des accueils de mineurs (arrêté 
		du 3 novembre 2014 relatif à la déclaration préalable).La déclaration auprès de la DDCS/DDCSPP du siège social du déclarant ou 
		de l’organisateur se fait en deux temps : - dépôt d’une fiche initiale 
		et - dépôt d’une ou plusieurs fiches complémentaires.
 Vous devez effectuer votre déclaration en ligne
 Si vous 
		n’avez pas accès à Internet, il vous est toujours possible d’envoyer 
		votre déclaration par voie postale en utilisant un des formulaires 
		suivants :
 LE DEPOT 
		DE LA FICHE INITIALE Dans la 
		plupart des cas, la fiche initiale doit être déposée deux mois avant le 
		début de l’accueil auprès de la DDCS/DDCSPP du siège social du déclarant 
		ou de l’organisateur,A la réception de cette fiche, un accusé de réception est délivré par la 
		DDCS/DDCSPP.
 
 LE DEPOT 
		DE LA OU DES FICHES COMPLEMENTAIRES La fiche 
		complémentaire doit être déposée : - au plus tard 8 jours avant le début 
		du séjour ou du premier accueil de l’année scolaire considérée pour les 
		accueils de loisirs extrascolaires et les accueils de jeunes ;
 Au plus tard 1 mois avant le début de chaque accueil de scoutisme avec 
		hébergement d’une durée supérieure à 3 nuits consécutives ; -tous les 3 
		mois et au plus tard 2 jours ouvrables avant le début du trimestre 
		considéré pour les autres accueils de scoutisme.
   Un récépissé 
		attestant de la réception de la déclaration et comportant le numéro 
		d’enregistrement est délivré par la DDCS/DDCSPP à l’issue du dépôt de 
		chaque fiche complémentaire. Lorsque la 
		fiche initiale ou une fiche complémentaire sont incomplètes, la DDCS/DDCSPP 
		demande à l’organisateur de lui fournir les éléments manquants dans des 
		délais qu’elle précise.   LE CAS DE 
		L’ACCUEIL DE LOISIRS PERISCOLAIRE La 
		déclaration d’un accueil de loisirs périscolaire s’effectue sur une 
		fiche unique de déclaration au plus tard 8 jours avant le début de 
		l’accueil.
 Déclaration des locaux d’hébergement des mineurs Vous devez adresser le 
		formulaire suivant à la DDCS/DDCSPP du département d’implantation du 
		local :
 
		
		Déclaration d’un local hébergeant des mineurs 
		- CERFA n° 12751*01   |  
		| 
		Le respect des conditions 
		d’encadrement : qualification, taux et capacité : | Les 
		conditions d’encadrement et de qualification des ACM sont fixées par les 
		articles R227-12 à 228 à du CASF et les arrêtés prévus pour leur 
		application : 
			
			 Article 
			R227-12 à 228 du CASF
			 Arrêté 
			du 09 février 2007 titres et diplômes 
			 Arrêté 
			du 13 février 2007 relatif aux seuils 
			 Arrêté 
			du 20 mars 2007 fonction publique territoriale
			 Arrêté 
			du 21 mai 2007 accueils de scoutisme 
		
		Voir la réglementation   Les 
		intervenants extérieurs ponctuels : 
			
			 Les 
			intervenants extérieurs prenant part ponctuellement à l’accueil pour 
			animer une activité spécifique ne sont pas compris dans les taux 
			d’encadrement mais doivent être déclarés sur la fiche 
			complémentaire.
			 Attention, 
			la pratique et l’encadrement de certaines activités physiques sont 
			réglementés par le CASF (R227-13 
			du CASF) (arrêté 
			25 avril 2012). 
		Renseignez-vous auprès de la 
		
		DDCS/DDCSPP 
		Interdictions et incapacités : Certaines 
		personnes ne peuvent exercer quelque fonction que ce soit ou certaines 
		fonctions auprès des mineurs en ACM. Il s’agit : 
			
			 des 
			personnes faisant l’objet d’une condamnation pour crime ou pour un 
			des délits mentionnés à l’article
			
			L. 133-6 du CASF ;
			 des 
			personnes faisant l’objet d’une mesure administrative d’interdiction 
			d’exercer ou de suspension d’exercice 
			
			(article L. 227-10 du CASF) 
		Condition d’accès au fichier des personnes ayant fait l’objet d’une 
		mesure administrative : 
			
			 Ce 
			fichier est tenu par le ministère chargé de la jeunesse.
			 Les 
			organisateurs d’accueils de mineurs sont tenus de vérifier que les 
			personnes appelées, à quelque titre que ce soit, à prendre part à 
			l’un de ces accueils n’ont pas fait l’objet d’une mesure 
			administrative. Cette information est accessible aux organisateurs 
			d’accueils collectifs de mineurs par 
			
			TAM (téléprocédure de déclaration).
			 Les 
			organisateurs qui ne seraient pas connectés à TAM doivent s’adresser 
			à la DDCS/DDCSPP de leur lieu de domicile ou de leur siège social, 
			elle fera alors elle-même la recherche. 
		Conditions d’accès au casier judiciaire : Lors de la 
		réception de la déclaration d’un accueil, la DDCS/DDCSPP s’assure que le 
		personnel d’encadrement de cet accueil ne fait pas l’objet d’une des 
		condamnations inscrites à l’article L.133-6 du CASF. |  
		| 
		Définition du projet éducatif et le 
		projet pédagogique : | Tout 
		organisateur est tenu de fournir son projet éducatif lors de la 
		déclaration. Ce document doit prendre en compte, dans l’organisation de 
		la vie collective et de la pratique des diverses activités, les besoins 
		psychologiques et physiologiques du public accueilli. Il définit les 
		objectifs de l’action éducative et précise les mesures prises par 
		l’organisateur pour être informé de sa mise en œuvre. Le directeur 
		et son équipe sont tenus d’établir un projet pédagogique (article 
		R 227-23 à R 227-26 du CASF). Ce document décrit notamment la nature 
		des activités proposées, la répartition des temps respectifs d’activité 
		et de repos, les modalités de participation des enfants et des jeunes, 
		ainsi que les caractéristiques des locaux et des espaces utilisés.   Il est 
		impératif que le projet éducatif et le projet pédagogique soient 
		communiqués aux représentants légaux de l’enfant avant l’accueil. Il 
		s’agit d’une obligation réglementaire (art. R.227-26 du CASF). |  
		| 
		L’assurance en responsabilité civile : | 
		Les organisateurs de l’accueil, comme l’exploitant des 
		locaux où cet accueil se déroule, sont tenus de souscrire un contrat 
		d’assurance garantissant les conséquences pécuniaires de leur 
		responsabilité civile, ainsi que celles de leurs préposés et des 
		participants aux activités qu’ils proposent. Les assurés sont tiers 
		entre eux. 
		Les organisateurs sont également tenus d’informer les 
		responsables légaux des mineurs concernés de leur intérêt à souscrire un 
		contrat d’assurance. |  
		| 
		Le respect des mesures d’hygiène et de 
		sécurité : | Y 
		a-t-il des conditions d’admission des mineurs en ACM ?Les parents ou le responsable légal du mineur doivent fournir :
 
			
			sous 
			enveloppe cachetée, certaines informations sur la santé du mineur,
			des 
			informations relatives à la vaccination antidiphtérique, 
			antitétanique et antipoliomyélitique, 
			un 
			certificat médical de non contre-indication pour la pratique de 
			certaines activités physiques. Y 
		a-t-il des conditions d’admission pour le personnel en ACM ? Chaque 
		intervenant doit produire un justificatif relatif aux vaccinations 
		obligatoires.   
		Quelles sont les mesures prévues pour le suivi sanitaire ? 
			
			 Un 
			membre de l’équipe d’encadrement, placé sous l’autorité du 
			directeur, est chargé du suivi sanitaire. Entre autres fonctions, il 
			tient un registre des soins.
			 Il 
			est prévu un lieu pour isoler les malades.
			 Aucun 
			médicament ne peut être administré à un mineur sans prescription 
			médicale.
			 Lorsqu’un 
			mineur suit un traitement, son responsable légal doit fournir 
			l’ordonnance avec les médicaments qui doivent être marqués au nom de 
			l’enfant.
			 L’équipe 
			d’encadrement dispose de moyens de communication pour alerter les 
			secours et la liste des personnes et organismes susceptibles 
			d’intervenir en cas d’urgence. 
		Quand faut-il informer les familles et l’administration sur l’état de 
		santé des mineurs ? 
		L’organisateur est tenu d’informer sans délai la DDCS/DDCSPP du lieu de 
		déroulement de l’accueil de tout
		
		"évènement grave". Par 
		ailleurs, il doit informer les familles de tout accident ou maladie 
		concernant leur enfant.   
		Qu’est-il prévu pour l’accueil des jeunes atteints de handicaps ou de 
		troubles de la santé ? Aujourd’hui 
		de plus en plus d’organisateurs proposent des accueils au sein d’un 
		groupe composé essentiellement d’enfants valides. Les animateurs, le 
		directeur, l’organisateur sont informés avant le séjour des spécificités 
		du handicap de chaque enfant, ce qui permet d’adapter les activités et 
		l’organisation de la journée. De même, l’équipe d’encadrement est 
		sensibilisée aux nécessaires précautions à prendre dans la vie 
		quotidienne du jeune et au cours des activités.
		voir les 
		recommandations.   
		Quelles sont les obligations prévues pour les locaux hébergeant les 
		mineurs ? Des 
		informations relatives au lieu ou local d’hébergement doivent être 
		fournies lors de la déclaration. Afin d’en savoir plus, renseignez-vous 
		auprès de la
		
		DDCS/DDCSPP.   |  
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		1.3 Missions et 
		compétences du ministère chargé de la jeunesse 
		Quand déclarer un ACM |  
		| 
		C'est quoi :  | 
		La mission du ministre chargé de la jeunesse est de 
		s’assurer que les mineurs puissent bénéficier d’un accueil collectif 
		dans un contexte de vacances et de loisirs (découverte d’activités et de 
		la vie en collectivité), tant sur le plan de la sécurité physique et 
		morale des jeunes que sur celui de la qualité éducative des accueils. |  
		| 
		Élaboration de la réglementation des 
		accueils collectifs de mineurs à caractère éducatif : | Le cadre 
		actuel législatif des "accueils collectifs de mineurs à caractère 
		éducatif" est fixé par le code de l’action sociale et des familles, 
		chapitre "Protection des mineurs accueillis hors du domicile parental 
		pendant le temps hors scolaire".Le ministère est chargé d’élaborer et d’aménager ce cadre en 
		définissant :
 
			
			la 
			notion juridique de ces accueils et les limites du champ 
			d’application de la réglementation ;
			le 
			régime de déclaration de l’organisation de l’activité et les 
			conditions d’organisation ; 
			les 
			obligations des organisateurs en matière de fonctionnement, de 
			sécurité et d’encadrement. Il veille 
		à la mise en œuvre de ce cadre par l’intermédiaire des services du 
		préfet dans le département : directions départementales de la cohésion 
		sociale (DDCS)/directions départementales de la cohésion sociale et de 
		la protection des populations (DDCSPP). |  
		| 
		Accompagnement des 
		actions éducatives de qualité: | 
		Enfin, il a aussi pour rôle de favoriser le développement 
		de la qualité éducative des accueils.Le ministère suscite et soutient les recherches et les études portant 
		sur la dimension éducative des accueils collectifs de mineurs à 
		caractère éducatif. Il encourage également l’apprentissage des bonnes 
		pratiques – éducation à la consommation (co-organisation d’un colloque 
		spécifique), éducation à l’environnement (élaboration d’outils), 
		éducation à la santé et à l’alimentation (participation au programme 
		national de nutrition santé) – en développant des outils en partenariat 
		avec des organisateurs.
 |  
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		| 
		
		1.4 Missions du 
		préfet et de la direction départementale (DDCS/DDCSPP) 
		Quand déclarer un ACM |  
		| 
		Suivi de l’application de la 
		réglementation – conseil/information – pôle éducatif :  | Sous 
		l’autorité du préfet, les services déconcentrés de l’État (direction 
		départementale de la cohésion sociale/DDCS et direction départementales 
		de la cohésion sociale et de la protection des populations/DDCSPP) sont 
		chargés du suivi (obligations à respecter et formalités à effectuer, 
		conseils) et du contrôle : 
			
			de la 
			déclaration des accueils déposée par tout organisateur résidant sur 
			son département,
			de la 
			déclaration des locaux d’hébergement situés sur leur département,
			
			d’un 
			accueil se déroulant sur leur département. Un premier 
		contrôle a priori est effectué au moment de l’enregistrement de la 
		déclaration des accueils devant être adressée par l’organisateur à la 
		DDCS/DDCSPP de son département de résidence.Le préfet peut s’opposer au fonctionnement de l’accueil qui mettrait en 
		danger la santé physique et morale des mineurs.
 La mission 
		de protection des mineurs s’exerce principalement : 
			
			par 
			l’information, le conseil, l’accompagnement et la mise en œuvre 
			d’actions de formation des organisateurs et des équipes pédagogiques 
			tout au long de l’année ; 
			par un 
			contrôle a priori dans le cadre de la procédure de déclaration des 
			accueils collectifs de mineurs (ACM) ; 
			par 
			des contrôles et des évaluations sur place ; 
			par 
			l’exercice de pouvoirs de police administrative et de police 
			judiciaire. Les DDCS/DDCSPP 
		sont donc les interlocuteurs directs des organisateurs de leur 
		département et conseillent et informent aussi bien les organisateurs, 
		l’équipe d’encadrement que les usagers (familles ou jeunes en recherche 
		d’information). Elles 
		développent également des actions éducatives en partenariat avec les 
		organisateurs ou d’autres services départementaux sur des thèmes qui 
		leur paraissent importants au regard des réalités locales (intérêt du 
		projet éducatif, adolescence et pré-adolescence, accueil des jeunes 
		enfants, adaptation des locaux et des modes de restauration...). |  
		| 
		Contrôle des accueils : | Des 
		contrôles et des évaluations peuvent être effectués sur place par les 
		personnels des DDCS/DDCSPP.Le contrôle permet de vérifier sur place et sur pièces le respect du 
		cadre réglementaire, notamment des qualifications des intervenants, du 
		taux d’encadrement, des conditions générales d’accueil des mineurs et de 
		la satisfaction aux obligations d’assurance prévues à l’article L.227-5 
		du CASF.
 Il est réalisé simultanément à une évaluation de la qualité éducative de 
		l’accueil qui porte notamment sur la bonne adéquation entre le projet 
		éducatif, le projet pédagogique et les activités réellement proposées 
		aux mineurs :
 
			
			
			l’adaptation du projet aux caractéristiques physiologiques et 
			psychologiques du public accueilli (rythme de vie, niveau 
			d’autonomie, etc.) ; 
			la 
			relation avec les familles ou les représentants légaux des mineurs 
			(communication des projets avec notamment des informations sur les 
			activités proposées et les conditions de leur pratique) ; 
			
			le 
			niveau d’implication des enfants dans le projet (information, choix 
			ou participation des mineurs) ; 
			
			l’adaptation, le cas échéant, des locaux d’hébergement ou du site 
			d’accueil.  Ils sont 
		l’occasion d’un échange où des conseils peuvent être apportés à l’équipe 
		pédagogique pour la réalisation du projet pédagogique. Les 
		contrôles et les évaluations peuvent être menés en coordination avec les 
		services des autres administrations concernées, notamment en matière 
		d’hygiène et de restauration (ARS, direction départementale 
		interministérielle chargée de la protection des populations…), voire 
		avec les services des collectivités territoriales (service de la 
		protection maternelle et infantile (PMI) du conseil général par 
		exemple). |  
		| 
		Les infractions pénales spécifiques : | Le code de l’action 
		sociale et des familles prévoit, à l’article L.227-8, les infractions 
		suivantes : 
			
			 absence de 
			déclaration ou modification de la déclaration non signalée ; 
			 défaut 
			d’assurance ; 
			 exercice de 
			fonctions à quelque titre que ce soit malgré les incapacités 
			prévues ; 
			 opposition à 
			contrôle ; 
			 non-exécution 
			des décisions préfectorales. |  
		| 
		Conseil : | 
		Déclarer un accueil collectif de mineurs n'est donc pas 
		une option. L'absence de déclaration est donc bien une infraction même 
		si le séjour s'est ou se déroule très bien, même si vous avez fait le 
		nécessaire en matière de moyens pour assurer au mieux la sécurité des 
		participant-e-s, même...  |  
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		1.5 Accueils de 
		mineurs non déclarés (hors champs ACM) 
		Quand déclarer un ACM |  
		| 
		Prestations concernées : |  
		| Ces 
		prestations se situent hors du champ des «accueils collectifs de 
		mineurs» (ACM). Leur 
		exclusion vient du fait qu’elles ne correspondent pas à la définition 
		des ACM. Le hors champ des ACM est 
		également mentionné de façon explicite dans une instruction du Ministère 
		en charge de la jeunesse datée de 2006, et plus récemment par les textes 
		sur la réforme des rythmes éducatifs3. Ce hors champ ACM 
		comprend: 
			
			certains accueils 
			périscolaires (voir point suivant) ;
			 les garderies 
			qui ne sont pas caractérisé́es par la fréquentation régulière des 
			mêmes mineurs. (Exemple : garderie organisée par une galerie 
			commerciale pendant les courses des parents) ;
			 les 
			animations proposées aux familles sur leur lieu de villégiature par 
			certains organismes de vacances (hôtels-clubs, villages-vacances, 
			clubs de plage ...) ;
			 les 
			accueils centrés sur une seule activité́. Exemples : cours de 
			musique, ateliers théâtre, clubs nature, écoles de sports...
			 les 
			déplacements ayant pour objet la participation aux compétitions 
			sportives organisées par les fédérations sportives agréées, leurs 
			organes déconcentrés et les clubs qui leur sont affiliés ;
			 les 
			stages de formation, notamment les formations au brevet d’aptitude 
			à la fonction d’animateur (BAFA) et à l'encadrement des 
			disciplines sportives ;
			 les 
			activités organisées par les établissements scolaires : 
				
				 voyages 
				scolaires encadrés par les enseignants pour leurs propres 
				élèves, même s’ils ont lieu pendant les vacances scolaires ;
				 dispositif 
				"école ouverte" ;
			 les 
			accueils destines exclusivement à des mineurs handicapes, dès lors 
			que ceux-ci sont encadrés par les personnels habituels des services 
			ou établissements médico-sociaux, et notamment les transferts au 
			sens de la réglementation applicable à ces derniers ;
			 les 
			accueils organisés par les services de prévention spécialisée au 
			profit de leurs seuls usagers, dès lors que ces derniers sont 
			encadres par les personnels habituels de ces services ;
			 les 
			regroupements exceptionnels de masse, y compris les temps de 
			déplacement, qu’ils soient nationaux ou internationaux, à caractère 
			religieux (journées mondiales de la jeunesse, pèlerinages, ...) ou 
			culturels (festivals, technivals, ...), ainsi que, d’une façon générale, 
			ceux soumis à des autorisations administratives particulières ;
			 les 
			accueils relatifs à l’exercice d’un culte : déplacements 
			d’aumônerie ou de catéchèse, retraites préparatoires à un sacrement 
			chrétien, petits pèlerinages... sauf si la dimension cultuelle est 
			associée à une autre dimension telle qu’un projet de loisirs ou de 
			vacances ;
			 les 
			regroupements organisés par l’Etat, les collectivités territoriales 
			ou certaines associations agréées jeunesse et éducation populaire 
			(type ANACEJ) dans le cadre de l’accès à la citoyenneté́ ou de 
			l’exercice même de cette citoyenneté́ par des mineurs. Exemples : 
			conseils municipaux d’enfants et de jeunes, réunions liées au 
			fonctionnement des juniors-associations (conseil d’administration, 
			assemblée générale, regroupements divers) ;
			 Enfin, 
			les « accueils » de mineurs qui sont en deçà̀ des seuils 
			réglementaires : 
				
				
				les ALSH (accueil sans hébergement) qui : 
					
					
					réunissent moins de 7 jeunes ;
					
					ou fonctionnent moins de 2 heures par jour 
					(moins de 1 h/j si PEDT5) ;
					
					ou sont ouverts moins de 14 jours par an
				
				les séjours (avec nuitée) en dehors d’une famille avec moins de 
				7 jeunes, quelle que soit leur durée. |  
		| 
		Le cas particulier des accueils 
		périscolaires : | 
		Pour les accueils périscolaires, le choix est laissé à 
		l’organisateur soit de les déclarer, soit de ne pas le faire. S’ils sont 
		déclarés, ils doivent respecter le cadre réglementaire défini pour ces 
		accueils. 
		La Direction Départementale déléguée recommande que le 
		périscolaire (TAP compris) soit organisé dans des conditions qui 
		permettent de le déclarer comme un accueil collectif de mineurs auprès 
		de ses services. 
		Toutefois, si l'organisateur choisit de ne pas déclarer 
		en totalité́ ou partiellement l’organisation du temps périscolaire et 
		opte pour le mode de type garderie, il doit garantir la sécurité́ 
		physique et affective des enfants. De plus dans le cadre des TAP, 
		l’organisateur doit veiller à la qualité́ éducative et la cohérence des 
		activités proposées. |  
		| 
		De quelle autorité́ dépendent les 
		accueils situés en dehors du champ des ACM : | 
		Certains accueils se situent dans le cadre de professions 
		réglementées et doivent en respecter les contraintes (ex : agrément 
		pour les assistantes maternelles). 
		  
		Pour les autres, selon le CASF (article L 227-1) : 
		 
		« Tout mineur accueilli hors du domicile de ses 
		parents jusqu’au quatrième degré́ ou de son tuteur est placé sous la 
		protection des autorités publiques. Sous réserve des dispositions des 
		articles L 227-2 à L 227-46, cette protection est assurée par le 
		président du Conseil gé́néral du lieu où le mineur se trouve. Elle 
		s’exerce sur les conditions morales et matérielles de leur accueil en 
		vue de protéger leur santé, leur sécurité́ et leur moralité́. » 
		  
		C’est donc le Président du Conseil Départemental qui 
		d’une manière gé́nérale est compétent sur la question de la protection 
		des mineurs ne relevant pas du champ des ACM7. 
		Cette compétence est renforcée si les mineurs ont moins 
		de 6 ans. La P.M.I (Protection Maternelle et Infantile) peut être 
		utilement consultée sur les conditions d’accueil et le projet proposé 
		pour les enfants d’âge maternel. |  
		| 
		Surveillance et sécurité́ |  
		| 
		Que dit la loi : | Le texte de référence est 
		l’article L 221-1 
		du code de la consommation : « Les produits et les 
		services doivent, dans des conditions normales d'utilisation ou dans 
		d'autres conditions raisonnablement prévisibles par le professionnel, 
		présenter la sécurité́ à laquelle on peut légitimement s'attendre et ne 
		pas porter atteinte à la santé des personnes ». Tout prestataire de 
		service est donc tenu d’assurer la sécurité des personnes concernées par 
		sa prestation. 
		Matériels et équipements : Les modes 
		d’emploi, les consignes d’installation, les conditions d’utilisation et 
		de stockage doivent être respectées. Ne pas oublier les vérifications 
		périodiques de routine. Autres 
		textes de références possibles (selon les activités) : 
		Sécurité́ dans les locaux accueillant les activités 
		: 
			
			 Locaux 
			construits, entretenus et amé́nagés dans le respect du code de la 
			construction et de l’habitation (vérification des installations de 
			chauffage et d’électricité́, etc...) ;
			
			 Etablissements recevant du 
			public (ERP) : Respect de la réglementation sur les ERP8, 
			dont « capacité » maximum d’accueil définie dans le procès-verbal de 
			classement de la commission de sécurité, présence d’un registre de 
			sécurité ;
			
			 A noter : à partir d’un 
			certain seuil9, 
			les locaux doivent être obligatoirement classés par la Commission de 
			sécurité et bénéficier d’un arrêté municipal d’ouverture au public, 
			à demander en mairie ;
			
			 Evacuations d’urgence : des 
			consignes pour chaque adulte, programmer des exercices d’évacuation, 
			maintenir les issues et les dégagements libres (pas de chaises, de 
			tables...) Code de 
		la route (placement des mineurs, dispositifs de retenue, 
		déplacement à pied, à vélo...) ; Code du 
		sport, en lien avec la discipline ; Décret 
		n°95-949 du 25 août 1995 sur le couchage en hauteur (voir
		Locaux et Camping en ACM) |  
		| 
		Ce que dit la jurisprudence : | 
		Les tribunaux considèrent que dans tout contrat 
		comportant l’obligation de surveiller une personne est incluse une 
		obligation gé́nérale de sécurité́ par laquelle le contractant s’engage 
		à prendre toute mesure pour assurer la sécurité́ physique des personnes 
		dont il a la charge. 
		Cette obligation de sécurité́ est renforcée lorsque les 
		usagers sont des débutants et des enfants. 
		Ce renforcement se caractérise par un abaissement de 
		seuil de la faute (une faute légère pourra suffire pour engager la 
		responsabilité́ de l’organisateur) et par une expansion du contenu des 
		mesures de sécurité́ qui lui incombe de mettre en œuvre. 
		Les jurisprudences des ACM, du sport de loisirs et des 
		accidents sur le temps scolaire sont des ré́férences utiles pour 
		ajuster le niveau de surveillance et de sécurité́. On y retrouve 
		diverses constantes : 
			
			 la 
			surveillance est à adapter selon l’âge des mineurs. Les enfants de 
			moins de 10 ans doivent bé́néficier d’une surveillance « 
			constante, vigilante et active ». 
			 
				
				
				Constante : pas d’interruption même momentanée. 
				
				Vigilante : être attentif, empêcher l’escalade des conflits.
				
				
				Active : faire preuve d’autorité́, anticiper les risques, 
				intervenir en amont ;
			la 
			surveillance est à renforcer si le manque de maturité des enfants 
			et les circonstances l’exigent. Exemples : fatigue, énervement... |  
		| 
		Arrivées et départs des enfants : | A partir de quand 
		l’enfant est-il sous la responsabilité de quel adulte ? Cette question doit 
		trouver une réponse claire dans le contrat passé avec les parents et 
		dans la répartition explicite des responsabilités entre les intervenants 
		auprès de l’enfant, faute de quoi des dysfonctionnements peuvent 
		apparaître et l’enfant risque d’être livré à lui-même dans les moments 
		de transition, ce qui augmente les risques d’accident Diverses modalités de 
		transfert de garde sont possibles. Elles doivent être écrites et 
		connues. Exemples : accompagnement de l’enfant jusqu’à l’adulte 
		encadrant, pointage sur la liste des présents, autorisation signée de 
		quitter seul(e) l’activité à partir de 17 h (de préférence pas avant 10 
		ans), etc... L’obligation de sécurité 
		s’applique aussi pour l’aménagement des locaux de transitions. Exemple : 
		douches et patères dans les vestiaires, portes des toilettes. En cas 
		d’accident, les parents peuvent invoquer la responsabilité de 
		l’organisateur de l’activité, qui pourra alors se retourner contre le 
		propriétaire du local. Le bon sens conseille de vérifier que les lieux « 
		intermédiaires » ne présentent pas de risques apparents. 
		  |  
		| 
		Veiller sur la santé de l’enfant: | 
			
			Les 
			informations préalables : Pour la sécurité́ de l’enfant, certaines 
			informations doivent être connues : 
				
				 antécédents 
				médicaux ou chirurgicaux ;
				 toute 
				pathologie nécessitant des précautions particulières de la part 
				de l'́équipe d'encadrement. (Exemples : allergies 
				alimentaires, asthme, hémophilie, épilepsie...)
				 les 
				traitements en cours afin qu’ils puissent être pris en compte en 
				cas d’intervention chirurgicale urgente. Un traitement médical 
				ne peut être administré sans ordonnance jointe et en cours de 
				validité́.
			Document 
			conseillé : l’imprimé Cerfa n° 10008*02 « fiche sanitaire de 
			liaison » (utilisé en ACM) ;
			 Les 
			soins pendant le déroulement de l’accueil :
			l est 
			conseillé d’avoir à portée de main :
			Ne pas 
			hésiter à contacter le Samu qui jugera du degré́ de gravité et 
			prendra la responsabilité́ d’orienter vers un médecin de ville s’il 
			n’est pas nécessaire d’intervenir immédiatement sur place. |  
		| 
		imprimé Cerfa n° 10008*02 « fiche 
		sanitaire de liaison »: | 
		Pour éviter de confier les enfants à des personnes 
		dangereuses ou incompétentes, il est conseillé de demander divers 
		documents aux intervenants réguliers : 
			
			 extrait 
			de casier judiciaire n° 3 (fourni par la personne) ou 
			 extrait 
			de casier judiciaire n° 2 (demandé par l’organisateur 
			s’il s’agit d’une commune) : il mentionne certaines 
			condamnations, regarder en particulier s’il est fait état d’affaires 
			de mœurs, de comportement violent,  d’infractions ré́pétées 
			au code de la route, d’usage de stupéfiants...
			 diplôme 
			ou qualification. Noter que certains titres sont obligatoires pour 
			l’encadrement d’activités sportives ; La signature 
		d’un règlement intérieur ou d’une charte de bé́névolat peuvent être 
		utiles. 
		L’organisateur doit enfin s’intéresser à l’attitude gé́nérale de 
		l’encadrant vis-à-vis des enfants : politesse, comportement 
		respectueux, bienveillance, maturité́, capacité́ à fixer un cadre et à 
		faire respecter des règles, capacité́ à « surveiller » les 
		enfants. |  
		| 
		Modalités d’organisation conseillées |  
		| 
		Le contrat entre les familles et 
		l’organisateur: | 
		La prestation de service pourra être définie dans un « 
		contrat ». 
		Remarque : le mot « contrat » a un sens 
		juridique. Il définit un accord librement consenti entre deux parties 
		avec des obligations respectives pour chacune des parties. Sa forme est 
		libre. Il fera foi en cas de litige aussi est-il conseillé de le 
		rédiger avec soin. 
		  
		Liste des points conseillés : 
			
			 l’identification 
			des parties prenantes (l’organisateur, les parents ou ceux qui ont 
			la garde de l’enfant) ;
			 un 
			numéro de téléphone des parents en cas d’urgence ;  
			l’identification de l’enfant ;
			 une 
			description de la prestation : contenus, modalités d’organisation et 
			d’encadrement, lieux, dates, horaires...
			 les 
			modalités de transfert de responsabilité́ : arrivées, départs ;
			 les 
			conditions d’annulation (activité́) ou de désistement (inscription) 
			;
			 des 
			renseignements concernant l’assurance responsabilité́ civile pour 
			l’enfant : attestation à fournir ou n° de police ;
			 le 
			tarif et les modalités de paiement ;
			 la 
			liste des pièces à fournir obligatoirement : renseignement 
			concernant la santé du mineur (exemple : fiche sanitaire de 
			liaison), tests d’aptitude, engagement signé du jeune, etc...) 
			;
			 des 
			annexes éventuelles : projet « éducatif », pédagogie, 
			programme de la semaine (sous réserve de modification), règlement 
			intérieur, autorisation de quitter seul(e) l’activité́ pour l’enfant 
			de 10 ans et plus, personnes habilitées à ré́cupérer l’enfant...
			 date 
			et signature ;
			 ainsi 
			que toute autre précision jugée utile. Le 
		règlement intérieur permet de fixer les règles du bien vivre 
		ensemble, tant pour les participants que pour les intervenants et les 
		parents. Il est particulièrement utile pour préciser les modalités 
		d’exclusion en cas de comportement inadapté́ ou de non-respect des 
		règles de fonctionnement. |  
		| 
		Les assurances : | 
		Les assurances sont obligatoires pour : 
		 L’assurance en responsabilité́ civile est vivement 
		conseillée pour : 
		* L’organisateur de l’activité́ peut légitimement en 
		faire une condition d’inscription. |  
		| 
		Un exemple particulier : la garderie 
		périscolaire : | 
		Sur le temps de la garderie, l’organisateur devra être 
		particulièrement attentif à :
 
		effectifs : 
			
			 les 
			modalités d'inscription et le calcul des effectifs prévisionnels ;
			 la 
			tenue d’un registre de présence à jour ;
			 l’effectif 
			d’encadrement qui doit être fixé en considération de l’âge et du 
			nombre de mineurs (la jurisprudence tendra à prendre comme 
			ré́férence les taux des ACM périscolaires) ; 
		locaux : 
			
			 des 
			locaux adaptes au nombre d’enfants (suffisamment grands et 
			insonorises pour le bien-être de tous) ;
			 N.B. 
			: les locaux des écoles élémentaires ne sont pas à priori adaptés 
			aux enfants de maternelle (hauteur des sanitaires, dispositif 
			anti-pince doigt, rampes adaptées, taille du mobilier, etc ...) ;
			 Pas 
			d’empilement de cartables ou de vêtements en travers des dégagements 
			; 
		surveillance et sécurité́ : 
			
			 l’aptitude 
			du personnel d’encadrement à exercer cette fonction ;
			 les 
			règles explicites de surveillance : en particulier localisation 
			précise de chaque enfant selonles différentes salles et cours 
			possibles ;
			 une 
			vigilance particulière pour les déplacements aux toilettes et ce qui 
			s’y passe ;
			 organiser 
			ré́gulièrement des exercices d’évacuation, donner des consignes de 
			sécurité́ au personnel d’encadrement ;
			 organisation 
			adaptée et vigilance pour les temps de transition : début et fin du 
			temps de garderie, déplacements ;
			 l’accord 
			exprès et écrit autorisant un enfant à quitter la garderie sans 
			être accompagné par un adulte, ou par un autre adulte que ses 
			parents. 
		Projet et activités éventuelles : 
			
			 veiller 
			au bien-être et à la sécurité́ affective des enfants ;
			 l’organisation 
			du gouter (lieu et durée) doit permettre aux enfants de se poser ;
			
			 le 
			gouter l’un des cinq moments d’apports nutritionnels nécessaires à 
			la croissance des enfants. Il doit donc si possible être diététique 
			;
			 les 
			activités doivent être pensées dans l’intérêt de l’enfant, et 
			adaptées : durée, choix, type, selon l’âge, la fatigue. Les 
			activités d’extérieur sont à privilégier ;
			 dans 
			le cas de la sollicitation d'un intervenant extérieur ponctuel ou 
			régulier, la contractualisation/le conventionnement est souhaitable 
			;
			 si 
			une aide aux leçons est proposée, elle doit se dérouler dans de 
			bonnes conditions matérielles, et sa durée doit être différente 
			selon l’âge des enfants ;
			 développer 
			des contacts avec les enseignants et les familles. 
		  
		Déplacement à pied : 
			
			 la 
			dangerosité́ du trajet ; 
			 les 
			points délicats éventuels ;
			 les 
			équipements en cas de pluie (prêt de capes de pluie, parapluies) ;
			 la 
			durée du trajet : inferieur si possible à 15mn pour les maternels ;
			 l’encadrement 
			: 2 adultes par groupe (sauf très court déplacement à proximité́ 
			immédiate et sans risque identifié). 
		Par ailleurs, si les organisateurs de garderies ne sont 
		pas soumis à l’obligation de déclaration, la Direction Départementale 
		Déléguée les invite à consulter à titre indicatif les ressources 
		mises en ligne sur les accueils de loisirs périscolaires. |  
		| 
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		fiche "Quand..." |      
	
		| 
		
		2.1 première 
		déclaration en tant qu'organisateur
 
		
		Comment déclarer un ACM |  
		| 
		Quand  : | Plus de 
		deux mois avant le début de l'accueil | 
		Déclarant :  | 
		L'organisateur |  
		| 
		Auprès de Qui : | DDCS ou 
		DDCS/PP de votre département | 
		Comment : 
		 | Courrier, 
		mail... selon département |  
		| 
		Obtenir un code organisateur : | Tout nouvel 
		organisateur doit retourner par courrier le document « déclarer un 
		nouvel organisateur ». Ce document vous est transmis par la DDCS sur 
		simple demande. A la 
		réception de ce document, la DDCS crée l’organisateur sur la téléprocédure 
		TAM puis transmet par courrier le numéro d’organisateur`au déclarant. |  
		| 
		S’identifier sur la téléprocédure 
		TAM : | 
		Rendez-vous sur l'espace TAM de Jeunesse et Sports :
		
		
		
			
			
			https://tam.extranet.jeunesse-sports.gouv.fr/ |  
		| 
		Etape 1 à 3 : | 
		 |  
		| 
		Étape 5 : Déposer une déclaration 
		initiale : | 
		Il vous est possible d’enregistrer les éléments 
		renseignés dans un « brouillon » en cliquant sur « Enregistrement 
		provisoire ». La fiche n’est pas déposée auprès de la DDCS. Vous pouvez 
		venir ultérieurement sur cette fiche initiale pour clore le processus de 
		dépôt. |  
		| 
		Étape 6 : Obtenir l’accusé de 
		réception : | 
		Au dépôt de la déclaration initiale, TAM vous propose de 
		télécharger l’accusé de réception. 
		Cet accusé de réception atteste que l’organisateur a 
		bien exécuté la première partie de la déclaration conformément aux 
		modalités prévues par l’arrêté du 3 novembre 2014. Il ne préjuge en 
		rien de la conformité des informations communiquées avec la 
		réglementation. Il appartient à l’organisateur de communiquer à la DDCS 
		la fiche complémentaire au plus tard 8 jours avant le 
		début de l’accueil. À défaut, la fiche initiale sera réputée n’avoir 
		jamais été déposée. |  
		| 
		Résumé : | Par sa 
		déclaration, l’organisateur s’engage à ce que : 
			
			 Le 
			taux et les normes d’encadrement soient respectés ;
			 Le 
			nombre d’enfants accueillis soit au maximum égal à 300 (pour un 
			accueil de loisirs périscolaire ou extrascolaire) ;
			 L’accueil 
			des enfants de moins de 6 ans soit autorisé : locaux habilités et 
			capacité d’accueil respectée. |  
		| 
		haut | 
		Librement inspiré de  
		:http://www.manche.gouv.fr 
		 | 
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		2.2 Effectuer 
		la déclaration initiale
		d’un accueil de loisirs ex tra-scolaire 
		Comment déclarer un ACM |  
		| 
		Quand  : | Plus de 
		deux mois avant le début de l'accueil | 
		Déclarant :  | 
		L'organisateur |  
		| 
		Auprès de Qui : | DDCS ou 
		DDCS/PP de votre département | 
		Comment : 
		 | Connectez-vous au portail 
		d’accès :  
		https://tam.extranet.jeunesse-sports.gouv.fr |  
		| 
		Etape 2 :  | 
		 |  
		| 
		Étape 3 : Créer une déclaration 
		initiale : | 
		Pour déposer une déclaration initiale ou la modifier, 
		cliquer sur l’onglet « Fiches initiales ». puis « ajouter un accueil 
		sans  hébergement ». Il faut ensuite définir les éléments 
		fondamentaux de l’accueil : 
			
			Le type 
			d’accueil (péri ou extrascolaire) ; 
			Les 
			dates de début et de fin ;
			le local 
			utilisé ;
			Le 
			département d’implantation; 
		 
		  
		Pour déclarer un ACM avec des moins de 6 ans, l’accueil 
		doit être autorisé par le préfet de département 
		Attention !  Les déclarations complémentaires 
		ne peuvent s’effectuer tant que l’autorisation n’a pas été délivrée par 
		le préfet. |  
		| 
		Étape 4 : Renseigner la fiche initiale 
		: | 
		 |  
		| 
		Étape 5 : Déposer une déclaration 
		initiale : | 
		Il vous est possible d’enregistrer les éléments 
		renseignés dans un « brouillon » en cliquant  sur « Enregistrement 
		provisoire ». La fiche n’est pas déposée auprès de la DDCS. Vous pouvez 
		venir ultérieurement sur cette fiche initiale pour clore le processus de 
		dépôt. 
		Enregistrement provisoire : Une fois la déclaration 
		déposée les informations`ne peuvent plus être modifiées tant que la DDCS 
		ne les a pas contrôlées |  
		| 
		Étape 6 : Obtenir l’accusé de 
		réception : | Au dépôt 
		de la déclaration initiale, TAM vous propose de télécharger l’accusé 
		de réception.  Cet accusé de réception 
		atteste que l’organisateur a bien exécuté la première partie de la 
		déclaration conformément aux modalités prévues par l’arrêté du 3 
		novembre 2014. Il ne préjuge en rien de la conformité des 
		informations communiquées avec la réglementation. Il appartient à 
		l’organisateur de communiquer à la DDCS la fiche complémentaire au plus 
		tard 8 jours avant le début de l’accueil. À défaut, la fiche initiale 
		sera réputée n’avoir jamais été déposée.  |  
		| 
		Résumé : | Par sa 
		déclaration, l’organisateur s’engage à ce que :  
			
			Le taux et les normes 
			d’encadrement soient respectées ; 
			Le nombre d’enfants 
			accueillis soit au maximum égal à 300 ; 
			L’accueil des enfants 
			de moins de 6 ans soit autorisé : locaux habilités et capacité 
			d’accueil respectée.  |  
		| 
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		Librement inspiré de  
		:http://www.manche.gouv.fr 
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		2.3 Effectuer 
		la déclaration complémentaire d’un accueil de loisirs extrascolaire 
		Comment déclarer un ACM |  
		| 
		Quand  : | Plus de 
		8 jours avant le début de l'accueil | 
		Déclarant :  | 
		L'organisateur / Directeur-trice |  
		| 
		Auprès de Qui : | DDCS ou 
		DDCS/PP de votre département | 
		Comment : 
		 | Connectez-vous au portail 
		d’accès :  
		https://tam.extranet.jeunesse-sports.gouv.fr |  
		| 
		Attention : | Après le 
		dépôt de votre déclaration initiale, la DDCS doit viser cette dernière 
		pour que vous puissiez déposer une fiche complémentaire.  Les 
		fiches complémentaires (FC) sont obligatoires pour achever le processus 
		de déclaration règlementaire à un ACM. En l’absence de ces éléments, la 
		déclaration est supposée n’avoir pas été effectuée et l’accueil, s’il se 
		tient, est illégal.  |  
		| 
		Etape 1 : Créer une fiche 
		complémentaire : | À partir de la page 
		d’accueil, cliquer sur l’onglet « Fiches initiales », sélectionner la 
		déclaration correspondante puis cliquer sur « Fiche Compl » 
		 |  
		| 
		Étape 2 : Renseigner 
		la fiche complémentaire: | La FC 
		doit comprendre les éléments suivants :  
			
			les dates de début et 
			de fin de l’accueil ; 
			le nombre de mineurs 
			par tranches d’âge ; 
			la localisation de 
			l’accueil les informations relatives au déclarant ; 
			les informations 
			relatives à la personne à prévenir en urgence ;
			la liste et l’état 
			civil de l’ensemble des membres de l’encadrement (animateurs, 
			bénévoles occasionnels,cuisiniers, …).
 |  
		| 
		Étape 3 : Saisir les 
		membres de l’encadrement:   | 
		Le code de l’action sociale et des familles prévoit, dans 
		son article L.133-6, un régime d’incapacité à exercer au sein des ACM, 
		notamment en cas de condamnation pour crime ou pour certains délits 
		ayant donné lieu à au moins deux mois d’emprisonnement ferme. 
		 
		Par leur déclaration complémentaire, les organisateurs d’ACM 
		permettent à l’administration d’avoir accès ont accès au bulletin n°2 du 
		casier judiciaire des personnes qu’ils recrutent. 
		  
		IMPORTANT 
		Afin d’assurer au mieux votre rôle de protection des 
		mineurs, il est impératif d’être particulièrement vigilant lors de la 
		saisie de l’identitédes personnes intervenants au sein des accueils que vous organisez. Il 
		est de votre responsabilité en tant qu’employeur de vérifier la moralité
 des personnes que vous recrutez.
 
		  |  
		| 
		COMMENT DÉCLARER LE PERSONNEL ? Les six 
		rubriques suivantes doivent être renseignées : 1/ 
		NOM. Le nom de naissance doit être obligatoirement renseigné : 
		saisir en majuscule, sans mettre d’espace avant la première lettre du 
		nom ;  Vérifier 
		qu’aucun caractère « parasite » n’a été saisi (en dehors du tiret et de 
		l’espace qui peuvent être utilisés pour les noms composés, et de 
		l’apostrophe dans le corps du nom).  
		2/PRENOM. Premier prénom de l’état-civil, obligatoire pour les 
		personnes nées en France :  saisir en 
		majuscule, sans mettre d’espace avant la première lettre du nom ;  Vérifier 
		qu’aucun caractère « parasite » n’a été saisi (en dehors du tiret et de 
		l’espace qui peuvent être utilisés pour les noms composés, et de 
		l’apostrophe dans le corps du nom).  3/ 
		DATE DE NAISSANCE. Format JJ/MM/AAAA  4/ 
		PAYS DE NAISSANCE. Sélectionner France ou étranger  5/ 
		DÉPARTEMENT DE NAISSANCE. Ne pas oublier de sélectionner le 
		département correct  6/ 
		COMMUNE DE NAISSANCE. Le choix du département détermine la sélection 
		de la liste des communes correspondantes. Ne pas oublier de saisir la 
		commune de naissance. |  
		| 
		Étape 4 : Effectuer 
		le dépôt de la fiche complémentaire: | 
		Un accueil doit respecter des règles en termes de nombre 
		et de qualification des encadrant-e-s. En cas de non respect de ces 
		règles, SIAM va afficher une alerte avant validation. 
		 
		  
		Ces alertes ne sont pas bloquantes, mais vous vous 
		exposez à ce que la DDCS vous contacte pour exiger une mise en 
		conformité ou même s’oppose à l’ouverture de l’accueil par arrêté 
		préfectoral. |  
		| 
		Étape 5 : 
		Télécharger le récépissé: | 
		Après validation du dépôt de la déclaration 
		complémentaire, vous pouvez télécharger le récépissé.  Ce document 
		est édité automatiquement par l’application au dépôt de chaque FC. Il ne 
		présume pas du respect  de la réglementation mais confirme 
		seulement l’effectivité de votre dépôt.Il faut noter qu’en cas de modification de la fiche, le récépissé ne 
		sera pas modifié.
 |  
		| 
		Résumé : | 
		Veillez à effectuer la déclaration complémentaire de 
		l’accueil de loisirs extrascolaire au plus tard 8 jours avant le début 
		de l’accueil 
			
			 Procéder 
			à l’ensemble des déclarations des personnes qui sont au contact des 
			mineurs ;
			 Demandez 
			une pièce d’identité pour chaque intervenant ;
			 Vérifier 
			sur la page d’accueil si des déclarations d’intervenants ne sont pas 
			en attente ;
			 Vérifiez 
			le visa porté par la DDCS sur la déclaration – cf le contrôle opéré 
			par la DDCS |  
		| 
		Synthèse :  | 
		 
		LE CONTRÔLE OPÉRÉ PAR LA DDCS 
		  
		Chaque déclaration est visée par la DDCS. LA DDCS vérifie 
		l’ensemble des éléments déposés pour s’assurer qu’ils sont conformes à 
		la réglementation. Il est nécessaire, après chaque étape de  
		déclaration, de revenir sur TAM pour vérifierl’état de celle-ci.
 
		Le contrôle va s’opérer particulièrement par  le 
		changement d’état de fiches déposées. Cet état reflète la situation 
		règlementaire d’une déclaration (initiale, complémentaire ou unique). 
		 
		  |  
		| 
		haut | 
		Librement inspiré de  
		:http://www.manche.gouv.fr | 
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		fiches déclarer
		  |    
	
		| 
		
		2.4 Effectuer 
		la déclaration d’un accueil de loisirs sur plusieurs sites (multi-sites) 
		Comment déclarer un ACM |  
		| 
		Si  : | L’accueil 
		de loisirs périscolaire fonctionne simultanément et régulièrement sur 
		différents sites éloignés de quelques kilomètres. Comment déclarer cet 
		accueil multi-sites ? | 
		Déclarant :  | 
		L'organisateur / Directeur-trice |  
		| 
		Auprès de Qui : | DDCS ou 
		DDCS/PP de votre département | 
		Comment : | Connectez-vous au portail 
		d’accès :  
		https://tam.extranet.jeunesse-sports.gouv.fr |  
		| 
		Le directeur ou la directrice : 
		 | Le 
		directeur d’un accueil « multi-sites » doit pouvoir se consacrer 
		exclusivement à ses fonctions de coordination et de suivi des différents 
		sites, en y assurant notamment une présence régulière. Ce responsable 
		doit être constamment joignable et disponible en cas de sollicitations 
		de la part d’une équipe d’animation de l’un des sites.  Chaque 
		site sera placé sous la responsabilité d’un animateur désigné par le 
		directeur.  La qualification des 
		personnes encadrant un accueil « multi-sites » reste conforme aux 
		dispositions de l’article R. 227-12. Les taux d’encadrement doivent 
		être, quant à eux, respectés sur chacun des sites.  |  
		| 
		Etape 1 : | Dans l’onglet « 
		déclarations » de la page d’accueil TAM, vous procédez à la 
		déclaration d’un accueil sans hébergement  
		  | 
		Étape 2 :  | Vous saisissez la 
		période d’ouverture, les effectifs prévisionnels, puis cliquez sur « 
		sélectionner un nouveau local »    |  
		| 
		Étape 3 : Sélectionnez le site 
		d’accueil avec son numéro de local :  | Procédez autant de fois 
		que nécessaire. Exemple :  
		 |  
		| 
		Étape 4 : Lors de la déclaration 
		complémentaire, vous devez : | 
			
			 renseigner 
			un seul directeur des multi-sites, responsable de l’accueil ;
			 préciser 
			les adjoints qui occupent la fonction de référent sur chacun des 
			sites et indiquez dans la partie« observations » leur lieu 
			d’exercice ;
			 déclarer 
			tous les animateurs présents sur les différents sites. 
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		Librement inspiré de  
		:http://www.manche.gouv.fr | 
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		2.5 Déclarer un 
		accueil avec des enfants de moins de 6 ans 
		Comment déclarer un ACM |  
		| 
		Quand  : | Plus 3 
		mois avant le début de l'accueil | 
		Déclarant :  | 
		L'organisateur / Directeur-trice |  
		| 
		Auprès de Qui : | DDCS ou 
		DDCS/PP de votre département | 
		Comment : 
		 | Connectez-vous au portail 
		d’accès :  
		https://tam.extranet.jeunesse-sports.gouv.fr |  
		| 
		Article L 2324-1 du code de la santé 
		publique : | 
		L’organisation d’un accueil collectif à caractère 
		éducatif (…) ouvert à des enfants scolarisés de moins de 6 ans est 
		subordonnée à une autorisation délivrée par le représentant de l’Etat 
		dans le département, après avis du médecin responsable du service 
		départemental de protection maternelle et infantile. » |  
		| 
		Comment déposer une demande 
		l’autorisation pour accueillir des enfants de moins de 6 ans : | 
		Tout établissement qui accueille des enfants de moins de 
		6 ans doit être autorisé par le représentant de l’Etat. L’organisateur 
		de l’accueil de loisirs doit saisir par courrier la DDCS accompagné du : 
			
			 Cerfa 
			n°12751*01 dûment rempli et signé ;
			 Plan 
			détaillé des locaux qui accueillent des enfants de moins de 6 ans ;
			 Contrat 
			d’assurance ;
			 L’autorisation 
			municipale d’ouverture de l’établissement concerné ;
			 La 
			copie du dernier procès verbal de la commission de sécurité des 
			locaux accueillant des enfants. |  
		| 
		Que mentionne 
		l’autorisation d’accueil des enfants de moins de 6 ans : | 
		L’autorisation délivrée par le préfet (DDCS) à 
		l’organisateur d’un accueil collectif de mineurs mentionne les capacités 
		d’accueil, les conditions d’hébergement, l’âge des enfants pouvant être 
		accueillis ainsi que des préconisations visant à améliorer la sécurité 
		et la qualité de l’accueil. 
		Cette autorisation est à renouveler sous la même 
		procédure dès lors qu’apparaît un changement d’organisation : changement 
		de lieu d’accueil, changement important d’organisation, demande de 
		révision de la capacité,… 
		Lors de la déclaration, la capacité d’accueil des enfants 
		de moins de 6 ans doit être respectée. |  
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Dernière mise à jour : 
23/07/2023. 
 
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